Tiques et puces ne connaissent pas les frontières. Si des espèces prédominent dans certaines parties du monde, impliquant des risques accrus de transmission de maladies spécifiques pour nos animaux domestiques, l’omniprésence de ces parasites est à prendre en compte lorsque l’on voyage à travers le monde.
Nos grands-mères nous l’avaient bien dit « Au printemps, où sont les chiens sont les puces ! », une sage recommandation que nous appliquons à la lettre en traitant consciencieusement nos chats et nos chiens dès l’arrivée des beaux jours. Cependant, ce serait mal connaître la puce que de s’imaginer s’être débarrassé d’elle.